GÉNOCIDE        MONTRE

Les autorités algériennes ont utilisé les restrictions liées au COVID-19 pour restreindre la liberté d'expression et de réunion politique, en particulier pour les membres du mouvement de protestation Hirak et la communauté amazighe. Plus de 300 personnes ont été arbitrairement arrêtées pour des raisons politiques et ont signalé un recours excessif à la force, des tactiques d'interrogatoire brutales et un isolement cellulaire prolongé. Les Amazighs, un tiers de la population, sont également confrontés à la discrimination et au harcèlement en raison de leur ancienne association avec les Français lors de l'occupation de l'Algérie.